Les raisons avancées par le premier édile concerne d’abord la baisse du nombre d’élève lors des dernières années, ensuite il estime que 88 classes sont inoccupées dans la ville. "Il faut donc rationaliser" confie-t-il à l’Union. Il n’y aura pas de suppressions de postes ni de classe, enfin l’année prochaine, pour 2016-2017 rien ne le garantit.
Dans les raisons plus pragmatiques, moins mises en avant par Apparu, il y a surtout le coût d’entretien. La plupart de ces écoles se situent dans des bâtiments anciens, dont l’entretien coute cher. La mairie, qui va bientôt faire l’acquisition de nouveaux jouets pour policier ne peut pas se permettre de laisser filer l’argent. Des suppressions qui s’ajoutent à celle du lycée de Sainte-Menehould
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