Le 9 octobre, le marathon de Reims, renommé "Run in Reims" s’élancera. Un an après un délit qui n’a aucune conséquence pour les coupables mais qui coutera 672 000 euros aux rémois, retour sur une banale magouille municipale.

Mardi soir, lors de la rencontre entre Reims et Clermont, un ultra a été arrêté pour un pétard (ceux qui font boom, hein !).
Il s’agit, selon la page facebook des Ultras Rémois 1995, de la cinquième arrestation d’un des leurs depuis la rentrée pour des faits similaires (fumi, pétard,etc.). Il semble que les autorités aient décidé de passer à la vitesse supérieur face aux supporters qui ne rentreraient pas dans le rang.
Force et Courage à eux !

L’Euro 2016 a lieu en France entre le 10 juin et le 10 juillet. Étant donnée la situation sociale dans ce pays, nous qui sommes en lutte contre la loi Travail et son monde, nous appelons à le perturber.
Pourtant, nous aussi, nous aimons le foot. Mais nous considérons le foot comme un jeu, pas comme un business, pas comme une marchandise. Et vu le fric et la communication politique qu’il y a autour de ce type de grands événements sportifs, nous n’avons pas de scrupules à imaginer que l’Euro 2016 puisse être dérangé quelque peu.

Le Stade de Reims ne brille pas sur le terrain. Il ne redore pas son blason non plus en tribune. Déjà, sa pratique tarifaire avait éveillé certaines critiques, cette fois il s’agit de ses pratiques envers les supporters adverses.

Que s’est-il passé dimanche 8 février au Caire ? Une vingtaine de supporteurs du Zamalek football club ont été tués, dont plusieurs mineurs. Déjà, en 2012 à Port-Saïd, plus de soixante-dix supporteurs du club Ahly du Caire mouraient alors qu’ils assistaient à un match. Les « ultras » inquiètent le pouvoir depuis leur émergence en Égypte. Dans un contexte de répression généralisée, ils sont d’autant plus indésirables qu’ils représentent des forces organisées et combatives.

Un supporter du Stade de Reims, pas vraiment connu pour la maitrise de ses nerfs, a été arrêté par la police pour avoir frappé des supporters bastiais.
En plus d’avoir frappé ses supporters avec un parapluie (la spécialité de ce supporter... il a recommencé contre Lens) il les a insultés de "sales corses". La justice a condamnée les coups et blessures mais n’a absolument pas retenu les insultes racistes.
Pour la justice française, "sale corse" n’est donc pas raciste... Peut-être qu’au (...)

Non content d’être parti avec l’argent, le Stade de Reims donne des cours sur comment en faire... (cf : La classe mondiale au Stade de Reims)