200 établissements concernés... Pour un total de 65 000 établissements scolaires, la première constatation c’est que cela ne touche quasiment aucun établissement.
Néanmoins, certains élèves se sont vu sanctionnés après avoir évoqué leur désaccord ou exprimer leur refus de faire la minute de silence, des sanctions allant de la colle à la convocation de conseil disciplinaire et même dénonciation à la police et à la justice pour 40 d’entre eux.
La méthode pédagogique de l’éducation nationale en terme de transmission de la liberté d’expression est donc d’envoyer en garde à vue tous les récalcitrants à l’uniformisation médiatico-politique.
Cette nouvelle méthode n’a pas encore prouver son efficacité...
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