Les six associations qui se portent partie civile ont chacune d’entre elle réclamait 3 000 euros à l’ANDRA au titre de réparation. Mais pour elles, il s’agit évidemment d’obtenir la reconnaissance officielle des mensonges des nucléocrates de Bure.
Rappelons que le projet d’enfouissement prévoit de stocker à 500 mètres du sol des déchets hautement radioactifs et à longue durée de vie (HAVL). Ce genre de projet est interdit sur des sols à intérêt géothermique. L’ANDRA a donc affirmé tout au long de la mise en place de son centre que le sol de Bure ne présente aucun intérêt géothermique, et donc vous l’aurez compris, il semblerait que... finalement, si !
La décision a été mis en délibéré pour le 26 mars.
Compléments d'info à l'article